jeudi 29 juillet 2010

Impression au soleil tapant... / 29 juillet 2010


Le jeudi 29 juillet
Depuis chez moi.

« Un jour, je cuisinerai pour Birdy Nam Nam » a clamé solennellement Marie Sivignon, jeune pré-pubère débutant ses études en cuisine en 2006, à Lille (France).
Quatre ans plus tard, jeune femme accomplie, Marie Sivignon se retrouve chargée du catering pour le MEG Festival. Et la voilà à préparer ses petites trempettes et son couscous pour Birdy Nam Nam.
Comment se sent-on après l’accomplissement d’un fantasme ? Humm... Freud ! Où es tu ?... Car c’est ici le paroxysme du rêve/réalité puisque c’est depuis le départ, la lignée, la visée de son destin de cuisinière. Va-t-elle réussir après un tel choc émotionnel, à reprendre son tablier et son fouet sachant qu’elle a atteint son horizon d’attente ?
« Je ne les ai pas encore nourri, je verrai avec eux demain... Y en a qui rêvent de coucher avec leurs artistes, d’autres de leur faire à manger. »
C’est pourquoi nous allons attendre patiemment les retours de Marie à ce sujet.

Puisque je suis dans cette veine là (ooooh non ! pas d’allusion !) je me permets de dire que moi même, alors que j’écris ces lignes, je vais vivre un petit choc émotionnel. Oui, oui. Je me suis promis de ne pas être groupie, je me suis promis de ne pas perdre mon intégrité à la vue d’un artiste, aussi respectable soit-il... Mais je suis faible ! Bon dieu que je suis faible ! Et oui ! Je suis sensible moi aussi à des choses aussi naïves et futiles que de rencontrer quelqu’un de sexy ou d’admirable... Arf. Et c’est pourquoi quand Arnaud Rebotini (Blackstrobe) me demande de réaliser son entrevue dans sa chambre d’hôtel... Je ne peux que tressaillir.
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Bon, nous sommes pour le moment en après midi et dans une heure c’est le lancement officiel du MEG : 5@7 au Divan Orange. Je ressens cette hâte, cette envie de courir avec mon appareil photo au bras et mon badge MEDIA au vent ! Ooooooh j’ai hâte ! Oui !!

Mais avant ça, rencontre avec les Funky French Popopopops ! Comme ils arrivent directement de Bretagne, je ne peux que parier sur la qualité de l’interview (mais non j’suis pas bretonne ! wow ! qu’est-ce tu dis ! aller... zyva. Laisse bétom mon frère*.)


* traduction en québecois : ben là... çapadallure que chuis bretonne ! mets-en ! Anyway... T’as pas une poutine dans ton sac ?

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